Attention !!! Ceci n’est qu’une esquisse à la quelle nous apporterons des améliorations par la suite.
Le savoir exclut-il toute forme de croyance ?
Remarques préliminaires :
- Il faut éviter absolument de réduire la croyance à la seule croyance religieuse et le savoir à la seule démarche scientifique.
- Traiter la seule question de la tension entre foi religieuse et sciences serait réduire le sujet alors que ce n’est qu’un aspect.
- Ce sujet peut utiliser le scepticisme opposé au savoir absolu qui implique une relativisation du savoir scientifique comme conjecture (croyance cohérente) testable (expérimentable).
I- Introduction problématique.
[accroche]
[analyse problématique]
Le savoir n’est jamais absolu. Il se forme et n’est pas achevé. S’investir pour le développer implique dès lors des croyances à commencer par celle en un savoir achevé horizon du savoir encore inachevé. Cependant une science qui se développe implique l’élimination de croyances fausses ou illusoires.
[annonce du plan]
II - Le savoir exclut-il les formes de croyances infrarationnelles ?
1 - Le savoir absolu.
« Le réel est rationnel et le rationnel est réel », nous dit Hegel.
2 - Les idéologies du savoir absolu nourrissent des idéologies totalitaires (une critique du marxisme comme science de l’histoire entre autres).
3 - Le « Que sais-je ? » sceptique relativise tout savoir et dévoile le combat entre des croyances c’est-à-dire des valeurs qui voudraient s’imposer les unes aux autres. (Scepticisme et relativisme).
III - On ne peut toutefois pas éviter d’agir sans croyances pragmatiques.
1 - La foi aveugle : nécessité circonstancielle de la ténacité et risque de fanatisme.
2 - La confiance dans l’autorité et ses limites.
3 - La nécessité de paradigmes métaphysiques cohérents et les limites de la vérité cohérence.
4 - Les croyances expérimentales.
4 a - Les conjectures réfutables des scientifiques et leur efficacité technologique.
4 b (transition) - Les pratiques de transformations intérieures sont aussi vérifiables...
IV -« Comprendre pour croire et croire pour comprendre », Augustin d’Hippone.
1 - Le scepticisme n’échappe pas à l’authenticité qui est une forme de savoir intérieur pratique lié à la compréhension et non à l’explication.
2 - « Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas » (Pascal).
3 - Le savoir extérieur et surtout intérieur est lié à un pari et à la confiance (le pari de Pascal réinterprété).
V - Conclusion.
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