Contrôle de cours n°3
Philosophie
Mardi 26 novembre 2013
Durée : 1 heure.
Vous pouvez faire les questions dans n’importe quel ordre à condition de bien indiquer le numéro de la question.
1) A propos de Levinas :
a) En quoi selon Levinas l’éthique comme respect de l’altérité de l’autre est-elle première par rapport à la connaissance ?
b) Résumez l’analyse phénoménologique de la rencontre du visage de l’autre selon Levinas.
c) Pourquoi selon Levinas « le moi est haïssable » ?
2) Autour de Rousseau et Hobbes :
a) D’où vient la guerre selon Hobbes ?
b) Quel argument principal Rousseau oppose-t-il à Hobbes pour dire qu’à l’état de nature l’homme n’est pas méchant ?
c) En quoi ceci est-il à rapprocher des caractéristiques de la conscience morale décrite par Rousseau ?
d) En quoi la société corrompt l’homme selon Rousseau ?
e) Quelle qualité faut-il cultiver selon Rousseau pour entendre la voix de la conscience morale malgré la corruption ?
3) Kant et l’insociable sociabilité :
a) Expliquez les penchants antagonistes en jeu dans l’insociable sociabilité selon Kant.
b) Comment cet antagonisme produit-il le progrès moral ?
4) Psychanalyse et conscience morale :
a) Qu’est-ce que le surmoi selon Freud ?
b) Comment à partir des expériences sur le miroir expliquer que le moi et le surmoi jaillissent simultanément ?
5) Scepticisme et au-delà :
a) Racontez une fiction de Descartes permettant de douter des certitudes mathématiques.
b) Quel est le raisonnement du cogito qui selon Descartes met fin au doute ?
c) Donnez un argument de Hume mettant en doute l’ego du cogito.
d) Qu’est-ce que le solipsisme ?
e) Quel argument permet de l’écarter ?
6) A propos de Douglas Harding :
a) Représentez avec un dessin le face à non face.
b) Expliquez en vous en inspirant pourquoi ceci permet d’envisager l’amour de soi comme de n’importe quel autre aussi bien que l’amour de l’autre comme de soi-même ?
7) La méthode de l’explication de texte :
a) Donnez les points à mettre dans une introduction d’explication de texte.
b) citez 5 types de raisonnements qu’on peut trouver dans un texte philosophique.
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