Comment t’avouer que je t’aime
Comment t’ avouer que je t’ aime
te dire que tu es la cause de toutes mes peines
ma tristesse a fait couler des larmes
et pour toi j’en ai versé des milliers
c’ est sûr on s’ est bien amusé
mais pour toi je fais parti du passé
je n’arrive pas à t’ oublier
tu m’ as littéralement ensorcelée
depuis le jour où je t ai vu
mon coeur a fait de toi l’élu
et je ne peux rien y changer
c’ est vers toi que vont toutes mes pensées
même si je sais que je ne t’aurai jamais à mes côtés
je ne peux cesser de t’ aimer
Grâce à toi
Ton langage me fait rêver
Et ta maturité me fait vibrer
Ton amour griffe mes douleurs
Pour me montrer toute ta douceur
Cette passion noire
Reflète sa puissance dans un miroir
Comme le Hip Hop te donne des ailes
Dans cette nouvelle vie qui t’emmène
Pour financer tout cet amour
Tu découvres tes sentiments de leurs vêtements
Volontaire pour toujours
Tu me fais découvrir ce monde…
On s’approche de son univers
On s’accapare ses terres
On détruit ses racines
On brise une atmosphère
La veuve pleure à son chevet
Une froideur vient l’en dissuader
Quelques êtres viennent la consoler
Mais cette douleur est solitaire
Rien ne sert de se lamenter
Tout arrive tout renaît
D’autres se perdent les uns perdurent
Les âmes vivent avec leurs larmes.
_parce qu’à tes yeux je suis qu’un voyou
_qui joue avec sa vie comme un yoyo
_qui dans ses textes ne sait dire que Yo Yo
_et ruine sa vie avec un bédo
_parce qu’à tes yeux je viens de la cité
_c’est pas une raison pour m’inciter
_ou croire que je vais hésiter
_à tout faire pour exister
_à mes yeux la justice est mal foutue
_aujourd’hui n’importe quel fou tue
_autour de moi il y a des tas de faux-cul
_mais peu qui t’aident lorsque t’es foutu
_parce qu’aux yeux de ma mère j’ai des bonnes notes
_parce qu’aux yeux des files j’ai pas la cote
_parce qu’aux yeux de mon père tous ses malheurs sont de ma faute
SI J’ETAIS NOIR :
Si j’étais noir, Ma vie ne serait pas la même,
Mes amis ne m’aimeraient pas, peut-être.
Mais ce n’est pas parce qu’on est blanc,
Que l’on a le droit d’être aimé.
Que l’on soit Blanc, Noir ou Jaune,
Nous sommes tous faits de chair, d’os et de sang....
ROMAIN
Si j’étais président
Je serais en avant
Comme tous les autres gens
J’aurais besoin d’argent
cyril
Cet homme a renoncé aujourd’hui pourtant il lutte sans bruit, sans prix, gratuit. L’auteur est celui, qui lorsque la nuit arriva, était comparativement dans l’univers.
Poème n°1 :
J’ai renoncé aujourd’hui à cette lutte gratuite qu’est l’ignorance.
L’auteur de cette pratique est celui qui, lorsqu’il jalouse une autre
personne comparativement à lui, veut tout simplement se créer un
autre univers.
Poème n°2 :
Le temps s’écoule comme un sablier géant
C’est notre vie qui s’en va lentement
Sans jamais que l’on puisse l’arrêter
Car c’est tout simplement notre destin
Et l’on ne peut y échapper, mais il faut en profiter
Car l’on a qu’une vie.
Une naissance cachée..
Le visage pâle... Les mains moites...
Je vois mon ventre s’arrondir,
Et perdre mon sourire...
Je te le cacherai,
Je ferai tout pour te l’éviter...
Cet emprisonnement,
D’être à ton âge "parent",
Ce qui ne devait être que bonheur,
C’est fait sans réfléchir en quelques heures,
Je veux t’éviter le pire...
Te cacher son existence...
Non pas pour te faire souffrir,
Mais pour que tu ais au moins le temps
De terminer ton enfance...
Ne pas t’ennuyer avec toutes ces responsabilités,
De devoir et de pouvoir s’en occuper...
De ce petit être qui va peut être apparaître,
Rentrer dans ma vie, en faire parti...
Je ne peux pas te laisser dans le doute,
Mais malgré moi je tracerai ma route,
Sans me retourner, je ne t’avouerai jamais la vérité,
Je ne veux pas te laisser sur ta fin,
Juste te laisser le temps de construire ton destin,
J’espère que tu comprendras...
A ton âge tu ne peux pas être "papa",
Tu as tant de choses à vivre et à découvrir,
Je n’ai pas le droit de tracer ton avenir,
Et je ne veux pas avoir à te retenir...
Alors c’est moi qui te laisse...
Sans aucune excuse je te délaisse...
Car c’est mieux comme ça...
Dans cette histoire je ne fait que penser à toi...
Car à ton âge, je n’ai pas le droit,
De te dédier le rôle de "papa"...
Tu nous as quittés...
Les nuits ont changé depuis ton départ,
Et nos journées ont plongé dans le noir,
Ce ciel si bleu, comme celui de tes yeux,
A sombré lorsque tu les as fermés,
Posé dans ce cercueil, tu nous as quittés,
Telle une feuille qui s’est envolée...
Je me sens renfermée, je ne sais pas quoi penser...
Peut être est- ce mieux là haut ?
Peut être est- ce plus beau ?
Je n’ai pas été te voir pour la dernière fois,
Mais j’ai imaginé ton visage et ton corps
Recouverts par ce drap..
Et c’est sans doute mieux comme ça.
Maintenant c’est dur, mais il faut redresser le mur..
Pour pouvoir continuer à vivre et à rire..
Et garder ton image pour toujours dans notre mémoire.
Cynthia.
Gourmandise !
Ce chocolat noir est délicieux... autant que ce chocolat blanc !
Ils sont tous les deux prioritaires lorsque les peines d’amour font
pleurer le cœur...
Ils viennent tout deux rapidement envelopper ce petit pincement,
Et additionnent douceur et réconfort !
Malgré ça, jeunes demoiselles faites attention aux kilos !
Celles qui travaillent dans le mannequina seront licenciées c’est sûr !
Couvertes de remords d’avoir liquidé toutes les tablettes de CRUNCH de
la superette,
Elles seront les premières à liquider le stock de NUTELLA !
Cynthia.
1er poème :
Avec mon parachute
Je ne risque rien
Puis je rechute
Comme si tout allait bien
2e poème :
Revoilà l’été
Lui qu’on attendait
Avec impatience
Depuis les vacances
Nadia
Dès que je t’ai vue sur le rivage
Je perdis tout mon langage
Moi qui atteignais ma maturité
Toi qui l’avais déjà passée
Comme une tigresse dans la forêt
Tu sortis tes griffes pour me montrer
Qu’il ne fallait pas approcher
Je fis l’indifférent mais au fond de moi
J’avais le noir désir de te capturer
Soit en pleine puissance soit avec élégance
Je te fis un petit spectacle de hip hop
Et je retirai la capote de ma nouvelle
Voiture, qu’il vente , qu’il pleuve ou
Qu’il neige, pour te prouver que je t’aime
Quand je t’ai vue hier soir
Ma vie se résumait au désespoir
Toi qui m’as tout donné enfin je le crois
Je t’ai vue partir sans même te dire au revoir
Romain
Voilà le printemps
Il faut prendre son temps
Quand je suis content
Juste de temps en temps
Partager cette page